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Trouver l’amour en période de pandémie mondiale – Episode 1 : C’est le drame

  • 25 mars 2021
  • Aucun commentaire
  • Charlie Ronique
40,9% de français de plus de 15 ans sont célibataires. 4 personnes sur 10 qui, il y a 1 an, avaient peut-être encore l’espoir de trouver chaussure à leur pied, pot à leur couvercle ou le tic de leur tac. Depuis le (la – on ne s’y fait toujours pas) covid-19, les codes ont changés. En plus de devoir trouver l’amour sur un écran en swippant, on doit maintenant apprendre à séduire avec un masque et trouver un créneau entre 17h45 et 18h00 pour tout donner avant le couvre-feu.

Bref, les défis sont nombreux. Après avoir traversé toutes les phases depuis un an, il est temps de vous dévoiler ce qui a bouleversé ma vie de célibataire confinée, couvre-feutée et bridée.

Je vous emmène donc avec moi pour vous raconter les 7 étapes du deuil de ma vie amoureuse depuis le 17 mars 2020.

Le choc

« Ca va bien se passer, ça va bien se passer, ça va bien se passer… ».

Je me revois encore quitter amis, parents et connaissances sur un bord de trottoir dans la nuit du 16 au 17 mars dernier, leurs valises sous le bras, bouche béate après le discours de Macron concernant celui-dont-plus-personne-ne-supporte-le-nom.

Je revois encore un ami commercial dans une enseigne de grande consommation me fourrer brioches et autres viennoiseries dans les poches pour assurer la survie de mon estomac dans les premiers jours de ce nouveau monde.

Je me souviens remonter les escaliers jusqu’à chez moi, ne réalisant absolument pas.

Le manque des dodos en cuillère et des papouilles pour m’endormir restait encore un concept bien abstrait.  Il fallait penser à manger avant de penser à consommer la chair humaine.

Ce que j’ai retenu de cette période ? Il faut choisir ses combats.

Le déni

«  Ca ne va pas durer, Ca ne va pas durer ».

Voici ce que je répétais en boucle à mes parents – qui n’avaient pas encore découvert la magie de la visio – et tous ceux qui m’appelaient, inquiets de m’avoir laissé dans mon 30m² seule face au nouveau monde et aux rayons de PQ vides.

Occultant de mon cerveau toute notion de durée dans le temps, j’avais naïvement décalé un date de quelques jours, prévu à la sortie de la première date de déconfinement annoncée (à la base, c’était 15 jours, ne me remerciez pas pour le rappel).

Jusque-là, mon inquiétude quant à mes prochains mois de désert amoureux restait dans une moyenne acceptable. Je dirais un simple 7 sur 10, facilement contrôlable.

Ce que j’ai retenu de cette période ? Quelle période ?

La colère

« Non mais c’est toujours sur moi que ça tombe ».

Est-ce les hormones, la libido ou l’inquiétude devant les infos qui a commencé à me faire ressentir le manque des guillis avant de dormir ? Je ne saurais pas vous dire.

Mais le fait est que chaque activité qui comblait mes journées pendant le confinement ne faisait que rappeler à mon bon souvenir mon état matrimonial bien triste. Le Caliméro en moi est ressorti comme fleurs au printemps, pour venir pointer le bout de son nez à chaque défi quotidien.

Un pot de confiture difficile à ouvrir. Un meuble acheté en ligne où deux bonhommes apparaissent comme par magie sur le mode d’emploi. Les derniers paquets de pâtes dans les rayons de 4 kilos impossibles à finir. Les courses à désinfecter seule (à l’époque, je faisais partie de ces gens-là, oui.)

Ma situation sentimentale venait me narguer à chaque recoin de ma cuisine.

Le pire ? Avant, on pouvait au moins décompresser avec les copains au bar en bitchant sur les couples parfaits.

Ce que j’ai retenu de cette période ? Beaucoup d’assiettes cassées. Vraiment beaucoup.

La peur

« Donc concrètement, on va faire comment pour faire des rencontres ? Mais riez pas, c’est pas drôle ! »

Clairement, après le deuxième confinement, j’ai sérieusement commencé à paniquer. J’ai perdu mon humour en même temps que le peu de calme qu’il me restait.

Pour tenter de retrouver un peu de sérénité, j’ai essayé de me remettre sur les applications de rencontres (coucou Tinder, coucou Bumble, coucou Once, coucou Happen, coucou le stockage saturé sur le téléphone).

Je me suis rendu compte que la mentalité avait changé.

Est-ce que mes interlocuteurs avaient gagné en maturité grâce à l’introspection forcé du confinement? Pas forcément (ceci est un euphémisme).

Étaient-ils désespérés ? Disons que tout comme moi, ils avaient commencé à laisser leurs principes de côté.

Mon palpitant n’a fait que s’accélérer quand je me suis vue obligée de briser le couvre-feu en soirée pour ne pas avoir à passer la soirée confinée avec quelqu’un qui paraissait bien plus beau avant que l’effet de la pinte de bière ne commence à redescendre.

Bref. C’était drôle un temps, mais là, clairement, j’ai plus envie de rigoler.

Ce que j’ai retenu de cette période ? Augmenter le stockage de son téléphone. Toujours.

La négociation

« Tu veux jouer, on va jouer ! »

Et puis parfois, il faut toucher le fond pour arriver à se relever.

Le covid (ou la, lâchez-nous avec ça) ne tuera pas ma vie sentimentale en plus de ma vie sociale.

Il paraît qu’il faut se battre dans la vie, alors c’est parti (pour le show, tout le monde est chaud).

J’ai sorti toutes mes cartes : j’ai changé mon profil sur les applications, ajouté une punchline drôle, actualisé mes photos (aurevoir la photo de 2015 qui avait tant de succès), et surtout, je me suis adaptée !

J’ai proposé des lieux de rencontres à des moments improbables de la journée. Avez-vous déjà vu une première rencontre dans la salle d’attente d’un test PCR ? Maintenant, oui.

Je me suis fait des yeux de biche, faute de pouvoir montrer mon plus beau sourire, je me suis dégagée du temps dans la journée – coucou les pauses déjeuners coquines – et j’ai tout donné. Déjà 30% de mon temps dépensé sur terre, chaque seconde est comptée.

J’ai même réussi à garder un côté romantique à la situation en offrant un masque avec des motifs mignons à l’élu de mon cœur, et j’ai poncé toutes les façons de rencontrer du monde.

Ce que j’ai retenu de cette période ? Jouer ne veut pas dire gagner.

La dépression

“Non mais c’est terminé pour moi, je le sais ».

Caliméro est de retour.

Il faut bien se l’avouer, ma patience et ma résilience ont atteint leurs limites assez rapidement.

Que ceux qui me disent de prendre mon mal en patience et que ça va revenir tentent de passer un hiver sans bouillotte humaine chaque nuit.

Après 3 dates dans des files d’attentes de click and collect, 124 tours de cotons tiges dans le nez pour rassurer les hypocondriaques que j’avais encore jamais rencontrés, 8 heures dans des magasins pour nouveau-nés à choisir des cadeaux à offrir à ceux pour qui apparemment le premier confinement a été plus salvateur que pour moi et 267 matchs (c’est pas moi, c’est le compte d’une amie), j’ai décidé d’abandonner, et de laisser ma vie sentimentale entre les mains de ceux qui décideront peut-être un jour de la passer en commerce essentiel.

Pour savoir si l’espoir va renaître des cendres de mon désespoir, il faudra attendre la deuxième partie de cet article, qui arrive très bientôt.

Mais sachez-le, la révolution de ma vie sentimentale est imminente.

Ce que j’ai retenu de cette période ? Mon nez n’a jamais été aussi propre
N’oubliez pas que le contenu de cet article est du second degré. On vous promet qu’aucun chroniqueur n’a été maltraité pendant le reportage, et que tout le monde dans l’équipe se porte bien.

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Charlie Ronique



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